Blog développement personnel
Voilà pour vous la publication d'extraits de mon ouvrage récapitulant 35 ans de recherches, d'écoute, de conseils. Un nombre important de mes consultants ont pu orienter leur vie grâce à ce travail. Je souhaite que la mise en ligne de ce livre permette la même évolution à un plus grand nombre.Intercalé dans les pages vous trouverez sous la rubrique "vos questions" des réponses aux questions que vous me posez par téléphone ou par mail. N'hésitez pas à me laisser vos commentaires afin que nous puissions échanger et approfondir ces écrits.
Bonne lecture à tous ceux qui prendront le temps.
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Une croyance :Je n'existe pas!
- Le 23/02/2011
- Dans Vos questions
Ma mère m'a souvent raconté ma naissance. Ce fut un moment difficile pour elle et pour moi. Le travail était long et difficile. En plus, je n'étais pas la "bienvenue", j'étais l'accident oubien la deuxième ou la troisième.....Déjà avant ma naissance "on " ne me voulait pas. Comment voulez-vous qu'avec "ça" je sois heureuse de vivre?
Durant toute mon enfance j'ai entendu des réflexions désagréables, des comparaisons avec mes frères et soeurs, des difficultés que je faisais vivre à mes parents! Ah, si seulement je n'étais pas là! Alors pour ne pas aggraver le problème, je me suis faite toute petite, je n'ai pas fais de bruit, je n'ai pas voulu entrer en conflit. C'était normal puisque "je n'existais pas". Je répondais avec toute mon énergie de petite fille à cette croyance que mes parents ancraient en moi au fur et à mesure de mon évolution : "je n'existe pas, on ne veut pas de moi". Cette croyance apportée par ma mère venait de me "tuer" dans l'oeuf!
Et j'ai grandi comme j'ai pu. Je me suis barricadée derrière un mur fait de peurs et de négation. J'ai refusé tout ce qui pouvait me faire du bien, me valoriser, me mettre un tant soit peu en avant, m'apporter un peu de bonheur.
J'ai choisi un mari qui lui non plus ne me reconnaissait pas puisque je n'existais pas! Toute ma vie répondait à la croyance de mon enfance : "je suis morte avant d'avoir vécu"
Dans les groupes j'étais celle que l'on n'écoutait pas, qui ne réussissait rien de plus que le strict normal et plus je recherchais sans m'en rendre compte l'attention d'autrui, plus je provoquais l'effet inverse me retrouvant seule à force de chercher à plaire puisque je n'existais pas.....
Mon âme souffrait. Elle me signalait bien que quelque chose n'allait pas mais il m'a fallu bien des années pour comprendre que je n'étais pas née.
Des maladies (mal à dire) des accidents, des épreuves ont jalonné ma vie mais rien ne réussissait à me réveiller de cette non existence.
Jusqu'au jour où........après quelques semaines de prise des fleurs du Docteur Bach,j'ai osé affronter quelqu'un qui n'avait pas les mêmes idées que moi. J'ai osé dire ce que je pensais et qui ne correspondait pas à la pensée de l'autre en face!
J'ai réalisé ce jour là que j'avais une consistance, que je pouvais avoir des idées personnelles et assez de force pour les exprimer sans craindre la réaction de l'autre. Donc j'existais bien et l'affrontement ne m'avait pas "tuée"!
Seule la croyance avait réussi à me tuer, cette croyance que j'avais acceptée car elle venait des êtres les plus chers qui étaient là pour me protéger.
Combien de croyances avez-vous qui vous tuent à petit ou grand feu??
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Tout ce qui ne me tue pas me fait grandir
- Le 23/02/2011
- Dans Vos questions
Ce matin le ciel m'est tombé sur la tête. Tout allait si bien, pourquoi un tel évènement survient-il maintenant? Y-a-t-il quelque chose à comprendre? Ai-je fais quelque chose de mal? Pourquoi à moi qui ne demandait rien à personne?
Je suis effondrée, anéantie, je n'ai plus aucune ressources pour réagir. Mon mental tourne à plein régime, je cherche, je m'interroge, je pleure, je tempête.
En fait je vais passer par toutes les phases que connait bien mon mental. Le déni, le refus puis viendra le sentiment d'injustice, la colère ou la haine et c'est là que j'ai le choix de réagir. C'est ce croisement qui fait toute la différence.
Oubien je reste bloquée dans le refus de l'expérience, dans l'injustice de la situation et je me positionne en victime de la vie oubien je m'oblige à prendre du recul sur la situation, en l'écrivant, en méditant, en en parlant avec quelqu'un de neutre qui ne mettra pas de l'huile sur le feu. Je ne suis pas victime, je sais que j'ai attiré cette situation pour me faire réagir. Même si je ne suis pas responsable de la situation, si elle advient à quelqu'un de mon entourage mais me touche indirectement ou met ma vie en instabilité.
Depuis ce point de vue, je peux me rendre compte que mon "âme" mon "Moi supérieur", ma "conscience" n'est pas touchée par l'évènement. Qu'elle peut garder sa neutralité qui lui évite de juger et la situation et les personnes qui me la font vivre.
Depuis ce point de vue de ma conscience, je peux me rendre compte que je ne suis pas réellement touchée et que je connais la suite à donner à la situation en toute neutralité. Autrement dit je ne "réagis" pas à la situation mais je pourrai agir pour en sortir.
Si d'un petit mouvement de conscience je redescends au niveau du mental, je redeviens ce personnage connu de tous qui dirige ma petite vie, je vais soudain ressentir tout le poids de la situation, je vais me lamenter et pleurer sur l'injustice de mon sort, la méchanceté des êtres humains.....
Et comme cela je peux à volonté entrer et sortir de ces deux mondes, un petit sursaut et me revoilà dans la région de la pure conscience où rien ne se passe, pas de larmes, pas de crise, le calme bien que je vienne de vivre un "drame" au niveau du petit moi. Et je redescends à son niveau et de nouveau je pleure, je me plains, j'envisage les pires conséquences à ce qui vient de me tomber sur la tête. Vous pouvez mettre tous les évènements difficiles de votre vie, divorce, perte de travail, perte de quelqu'un, disputes,accidents........
Maintenant, il me reste à choisir dans quel plan je vais me situer. Le choix m'appartient. Est-ce que je préfère le plan de ma conscience qui saura me conseiller sur la suite à donner oubien je préfère rester dans le petit moi qui souffre et crie sa souffrance?
Il a le droit d'ailleurs de la crier sa souffrance mais point trop n'en faut. Autant il ne faut pas garder en soi une douleur qui risque de se transformer en maladie (mal à dire) autant se noyer dans celle-ci trop longtemps révèle un besoin de s'en nourrir peu recommandé. Là encore le jeu du mental est très présent ramenant à votre esprit la gravité, le manque,la peur qui alimentent votre souffrance.
En vous aidant de deux chaises, essayez de ressentir ces deux plans bien distincts de votre personne. Sur l'une des chaises vous êtes le petit moi dirigé par le mental. Assise sur cette chaise vous pensez à la situation difficile que vous êtes entrain de vivre et vous verrez combien il est facile de sentir monter les larmes et la boule dans la gorge. Passez alors à l'autre chaise et en vous y asseyant retouvez le calme et la paix qui règnent dans votre conscience imperturbable. Les larmes et la boule disparaitront instantanément. Recommencez avec la première chaise.....bientôt vous n'aurez plus besoin des chaises pour ne plus glisser dans votre petit moi.
Commencez avec des situations simples, petites contrariétés, petites disputes.....avant de pouvoir passer aux plus importantes car tant que vous êtes en vie tout ce qui ne vous tue pas vous fait grandir!
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L'attention
- Le 10/01/2011
- Dans Vos questions
Une forme de méditation permanente, voilà ce qu'est "l'attention". En effet c'est très bien de s'assoir à heure fixe ou pas, le dos bien droit, de fermer les yeux et d'essayer de faire le vide ou de se brancher sur sa divinité d'élection, Dieu, Krishna,Marie.....et après?? Vous reprenez votre journée en vous laissant entrainer par les émotions, les réactions, les sursauts de votre grand égo......
Avec "l'attention" vous allez devoir méditer toute la journée. Chaque acte posé, chaque pensée formulée, chaque douleur de votre corps deviendra terrain d'exercice de "l'attention". Tout votre corps va vous servir à "poser" votre attention. La peau ce que je ressens,les yeux ce que je vois,les oreilles ce que j'entends,la langue ce que je goûte,le nez ce que je sens, le cerveau ce que je pense.
Mais il ne faudra pas se perdre en considérations, en explications, en justifications. Non, juste constater : c'est là, , oui je pense ça, oui je ressens ça, sans discuter mentalement du pourquoi du comment, juste constater, être là, présent à cette pensée, à cette douleur, à cet acte posé......sans jugement. Juste percevoir sans réagir. Juste enregistrer sans vouloir donner d'explication. Et, si une pensée ou un ressenti se pose malgré tout sur la première information- j'aime, je n'aime pas, je ne suis pas responsable, pourquoi à moi- noter là aussi sans plus qu'une impression c'est surimposée à la première sensation mais toujours sans faire intervenir le mental, sans en rajouter.
Ce n'est qu'en prenant l'habitude d'une telle pratique que vous arriverez à faire taire ce mental qui vous empêche de profiter de vos capacités d'intuition vous coupant de votre vraie nature et de la simplicité qu'elle apporte à la gestion de votre vie.
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Il neige!
- Le 03/12/2010
- Dans Vos questions
Quelle merde cette neige! On ne peut plus sortir, aller bosser, faire les courses. En plus ça caille et ça glisse!!
Voilà, encore une fois vous êtes identifié à votre petit moi qui récupère tout pour lui!
Qui est-ce qui a froid? Qui est-ce qui est gêné par la neige? Qui est-ce qui râle?
C'est "le corps" qui a froid, c'est "le mental" qui est gêné qui n'aime pas ou qui adore la neige. La preuve, on l'aime dans les stations de ski et on la déteste en ville!!
Et si je décidais de prendre du recul.....de ne plus m'identifier aux situations. Si je me disais que de toute façon elle est là et que je n'y peux rien!
A partir de ce point de recul, je peux examiner la situation avec neutralité. Sans aimer, sans détester.
Et dans ce calme, je vais trouver la meilleure solution pour vivre cet épisode "dérangeant" simplement parceque la réalité ne correspond pas à MA réalité. Parce qu'aujourd'hui j'avais à sortir, j'avais un rendez-vous, j'avais prévu des courses.
Avec ce recul, ma conscience non perturbée va donner la réponse la plus adaptée à la situation du moment, que ce soit la neige, une panne, une mauvaise nouvelle.....
Alors, vu qu'il neige encore, acceptez et restez au coin du feu si vous n'êtes pas obligé de sortir et si vous y êtes obligé en restant calme et en dehors de la situation, je suis certaine que tout ce passera bien pour vous.
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Un bel oiseau
- Le 17/11/2010
- Dans Vos questions
Hier tout allait bien mais aujourd'hui, voilà, je ne sais pas ce qui se passe mais j'ai de nouveau l'impression que tout va mal!
Que se passe t-il? Pourquoi ces fluctuations incessantes dans ma petite personne. Le moindre évènement, la plus petite douleur ou la mauvaise nouvelle me mettent sans dessus dessous. Il fait beau, je vais bien, il fait mauvais je vais mal. A croire que mon état est branché sur la météo!
Si je prends le temps de m'arrêter cinq minutes et que je ferme les yeux, je vais comprendre que mon état ne dépend en fait de rien d'autre que de mon mental.
Je vais faire un petit exercice : fermez les yeux et imaginez un magnifique ciel bleu, pur et tranquille.....là, vous y êtes.
Le calme règne, il fait beau, pas un nuage dans le ciel.
Apparait alors un oiseau. Le plus bel oiseau que vous n'ayez jamais vu. Il a des longues plumes blanches et soyeuses, l'oeil vif et gai, et il vole doucement dans votre beau ciel bleu avec grâce et majestée. Vous êtes bien là, à le regarder, prenez le temps. Regardez la couleur de votre ciel et constatez.
Puis laissez l'oiseau retourner d'où il est venu ne laissant que le beau ciel bleu sur l'écran de votre mental.
Maintenant faites apparaitre un vilain oiseau du style à celui du croque mort de Lucky Luke. Un vautour au cou décharné et déplumé, avec un plumage noir. L'oeil sournois et avide. Il envahi votre ciel et vole rageur en quête d'une charogne.
Regardez votre ciel, observez ce qui se passe.
Puis laissez partir cet oiseau terrible et observez le ciel.
Revenez à votre conscience ordinaire et, si vous voulez savoir la suite, écrivez moi vos observations et je vous répondrais par mail si vous me laissez vos coordonnées.
Vous comprendrez ainsi ce qui se passe en vous au moindre petit empêchement ou ennui.
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Bonne journée
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Rempli ton tonneau d'abord!
- Le 14/10/2010
- Dans Vos questions
Combien de fois ai-je pu entendre cette phrase : "Mais c'est égoïste de penser à moi!"!
Alors, je donne, je me donne. A ma mère, à mes enfants, à mon mari, à mes amies.....Je me donne sans compter. Je ne sais pas dire "NON"!
Alors je fais, je m'exécute, je rends service, je garde les petits, j'accompagne la copine à cette soirée où je n'ai aucune envie d'aller! Je vais faire la course que je n'ai aucune envie de faire, je vais au match de foot alors que je ne rêve que d'un dimanche matin au lit. Bref, je fais tout pour les autres et MOI alors?
Qui me sert mon petit déjeuner au lit en me disant "Repose toi encore un peu ma chérie"! qui va me faire la course urgente pour me dépanner, qui va chercher mes petits à l'école ou que sais-je encore.
J'ai tellement peur qu'on ne m'aime plus si je dis NON! Que se passerai t-il si je disais NON? On me dirait "Ah ben moi qui croyait que tu étais ma meilleure amie, moi qui pensais que tu étais ma fille la plus proche, moi qui comptais sur toi"!
Et moi, sur qui je compte? Est-ce une façon de m'aimer si on ne m'aime que lorsque je dis OUI? N'ai-je pas le droit de dire NON sans paraitre égoïste?
De quoi est-ce que je remplis mon tonneau ? De frustrations, de NON ravalés qui vont me rester en travers de la gorge, de regrets, de temps perdu et de pensées de haine pour tous ces gens qui m'envahissent parceque je ne sais pas dire NON?
Alors essayez de penser à ce que vous pourriez mettre de bon dans votre tonneau. Un grand moment de solitude en marchant dans la forêt, en écoutant de la musique, un cours de gym,un spectacle qui vous ravit le coeur et l'âme, une séance de massage, de yoga....et toutes ces petites choses qui vous permettent de vous sentir bien dans votre corps, dans votre coeur et dans votre esprit.
Et votre tonneau va se remplir de joie, de bonheur, de douceur, de bien être, de paix. Et, lorsqu'il va déborder, sans que vous n'ayez à faire quoi que ce soit, vous allez donner, donner, sans vous en apercevoir et sans rien perdre pour vous puisque vous ne donnerez que ce qui déborde. Ou plutôt, vous ne donnerez rien, mais les autres viendront prendre le surplus, ce qui déborde et du coup ne prendront rien dans votre tonneau, juste ce qui déborde!
Alors cessez de donner aux autres, ne craignez pas l'égoïsme momentané qui va permettre le remplissage de votre tonneau jusqu'à ce qu'il déborde et que vous n'ayez plus rien à faire.
De toute manière, il n'y a jamais rien à faire, juste à ETRE!
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La peur
- Le 29/09/2010
- Dans Vos questions
Qui n'a jamais entendu des petites phrases comme celles là : "attention, tu vas prendre froid" "tu n'y arriveras pas" "tu vas échouer, ce n'est pas la peine" "ça va te rendre malade" "de toute façon il n'y a plus de travail pour personne" "vu la crise on ne peut plus vivre" "tu es trop vieux à présent" "les choses vont de mal en pis".
C'est à qui véhiculera le mieux possible ces petites phrases qui n'ont qu'un but : transmettre la PEUR. Et ça marche! Que ce soit au bureau, en famille, à la TV à la radio, chez le boulager et j'en passe! Et du coup vous serez enrhumé car les courants d'air ça enrhument! vous aurez la grippe parceque c'est une épidemie et les épidemies ça se donne! vous n'aurez pas de travail puisqu'il n'y en a pas, vous serez fauché puisqu'il y a la crise.......
Réagissez! Ne vous laissez plus faire à moins que vous n'aimiez ça! Commencer par repérer ces phrases dites à longueur de journée et entendues par votre conscient qui va ensuite les imprimer dans votre subconscient. Ainsi elles vont devenir réalité puisque nos pensées engendrent nos réalités.
Vous êtes ce que vous pensez et vous pensez en fonction de ce qu'il y a dans votre inconscient.
Vous acceptez bien malgré vous d'influencer votre subconscient avec ces phrases négatives qui devient des réalités dans votre vie.
Commencez par les repérer, puis détournez cette énergie négative par des phrases positives que vous connaissez déjà. Votre subconscient connait les réponses dont vous avez besoin. Demandez à votre intelligence infinie, votre Soi supérieur de vous apporter les réponses dont vous avez besoin, mais demandez lui surtout de vous apprendre à être ouvert, réceptif à ces réponses.
Commencez avec de petites choses pour voir si ça marche, mettez y tout votre coeur et, si vous ne doutez pas vous verrez votre vie se transformer véritablement et ce n'est pas de la magie!
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Accepter
- Le 26/09/2010
- Dans Vos questions
J'entends très souvent les personnes me dire avec force "je ne peux pas accepter, vous vous rendez-compte!! C'est trop difficile à supporter, trop difficile à vivre ou à entendre....."
Et pourtant.....c'est là!
Et vous n'y pouvez plus rien puisque c'est DEJA là! Pas à venir, pas pour demain ou dans un an, c'est là, devant vous, pas derrière, pas tout à l'heure mais là, juste là! Le départ du conjoint, de l'enfant, l'annonce de la mort, l'accident, l'annonce du diagnostique, du licenciement......le bol cassé, le papier perdu, du plus gros au plus petit. Tous ces NON que l'on ne s'entends pas dire. "Ah, non, pas ça!" "Ce n'est pas possible" "Pas à moi", "pas lui"........
La première chose à faire c'est relever le nombre de fois ou ces phrases insignifiantes en apparence manifestent votre refus de ce qui est là, devant vous. Et, quand vous surprenez une telle phrase entrain de sortir de vos lèvres, vous rectifiez tout de suite: "eh bien si, c'est fait, c'est là!"
A partir de ce moment là, seulement, vous pourrez commencer à ACCEPTER.
Car c'est en fait la seule manière de ne pas donner de pouvoir à la situation. Elle n'est qu'un fait. Pour vous elle semble négative, pour un autre elle serait une vraie bénédiction. Elle est neutre et c'est votre mental qui va lui donner sa coloration. C'est la même chose que la bouteille à moitié pleine ou à moitié vide! Ce n'est qu'un point de vue.
Bien sûr, il y a le chagrin, la peine, la colère, tous ces sentiments humains que l'on ressent face à une situation qui fait mal.
Mais tant que vous restez dans le refus de la situation, vous ne ferez que souffrir encore et encore. Et à part aimer souffrir, mais là c'est un autre problème, il n'y a aucune raison de rester dans les griffes de cette souffrance.
Personne ne vous y oblige que vous même!
Essayez et vous verrez que dès quez vous vous serez posé face à votre souffrance par l'acceptation de la situation, la souffrance se fera plus légère laissant l'espace à votre lumière intérieure qui commencera son travail de guérison.
En quelques jours vous irez mieux et pourrez prendre les décisions qui s'imposent et qui seront les bonnes.
Alors commencez avec les petites choses de la vie, les petites contrariétés. Commencez par dire OUI mais ne tombez pas dans le fatalisme de celui qui accepte tous les malheurs du monde sur ses épaules. C'est la destabilisation inverse, un autre travail s'impose.
Et pour commencer, aujourd'hui dimanche, il pleut alors vous avez le choix de râler contre ce temps désagréable ou vous dire que c'est une bonne occasion pour aller au cinéma voir un bon film.....et éviter les gouttes!
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